À Verlaine
Du premier rondel
Au dernier poème
Je sens courir le frisson
Qui semble parcourir
Les mille horizons
Et tandis que je tremble
Dans mes veines
Je m’imagine ta bohème
Où tu as vécu érudit
Jusqu’à ton sommeil
D’avoir trop voué ta vie
Au divin calice
De la bouteille
Mais t’a projeté
Rêveur éternel
Aux confins des poètes maudits
Non loin de ton paradis
Révoltère