Vide marin
De la réflexion et puis votre volonté
A présent la chanson, écoutez ma liberté
Ce ne sont que des mots
Mais les mots n’ont jamais blessé personne
Alors ouvrez-moi le réseau
Et laisser mon requiem vous bercer
De sa symphonie polissonne
Oh, Vierge Marie (magie, magie)
Vous trouvez moi, mauvaise langue
Je n’ai que la conscience en désordre
La chance m’éborgne ? C’est vrai.
Mais le reste est au moins digne d’intérêt.
Avant de juger, laisser moi parler
Avant de me noyer, laisser moi respirer
Je voudrais vous montrer
Comment moi exister
Vous, les Grands Messieurs,
Vous, les Grandes Dames,
Vous, LES SUPERIEURS
Mon crime, où est-il ?
Je crois que c’est celui de trop réfléchir
Excuse-moi mais je préfère mourir
Le monsieur a trouvé son bonheur
Mais moi je le cherche encore
Je lui tire mon chapeau
Je lui donne ma sueur
Car depuis que je vis
Il m’exagère et joue faux
Comme un artiste près de la mort
Je ne parlerai pas, bougerai pas, j’arrêterai mon coeur,
Bloquerai mon sang, me mettrai en sommeil
N’est-ce point suffisant ?
Vous et Vous,
Tuez-moi puisque je serai toujours différent de vous
Coupez la corde !
C’est si facile ........
Révoltère