Poésies francaises pleines des joies et des tristesses de la vie, voyages et actualités vues d’un cinquième œil.
À tous ces qui aiment la guerre “ Je dédis ceci à monsieur le chef des armées Que je n ‘ ai jamais aimé Et que je n̓aimerai sans doute jamais La guerre, la paix. Qu̓est—ce que c̓est ? Est—ce seulement un état ? Non, je ne le pense pas Cela traduit bien...
1997 en France Qui parle d’inégalité, on ne plus comparer Il y a trop de diversités, en vérité du tout au pire les gens sont partagés A bas la censure, il faut réagir et c’est à moi d’en parler Bienvenu en France, le pays fabuleux, Le pays des droits...
8 millions d’années d’évolution L’homme, l’être supérieur par excellence Symbole de puissance et d’intelligence L’espèce la plus évoluée jusqu’à aujourd’hui A peu à peu perdu la valeur de la vie J’aurais voulu croire Que le temps améliorait les choses...
Zèle Je n’aurai d’autres destinées Que celle de trouver La voie tant rêvée De la vérité Et même si je sais Qu’elle est très prisée J’espère bien l’approcher Et même la désirer Jamais je ne pourrai Me faire à l’idée Q’une telle beauté Reste oubliée Même...
Volonté Je ne changerai pas de monde Avant que celui-ci ne soit meilleur Si Dieu ne creuse pas ma tombe J’irai peut-être caresser le silence Je ne voudrai point de reproche Sur ce que je n’aurai pas fait Cette fois, il n’y aura plus de stop J’irai jusqu’au...
Vendeur d’espoir C’est dur quelque fois la vie Parfois on ne sait plus où l’on va, Parfois on erre à l’infini A la recherche de ce qui n’existe pas Alors on plonge dans le vide On est toujours là bien sûr Mais nos pensées partent à la dérive Sur un océan...
Une saison froide La froideur n’existe que dans Les contes pour enfants Et lorsque le croque-mitaine disparaît Elle disparaît avec lui A ces demoiselles Qui lisent trop de romans Je vous informe que j’ai un coeur Et qu’au fond de moi je vis Suis-je autant...
Une autre chanson pour Prévert Oh, j’aimerais tant que tu te souviennes Cette poésie était la tienne Tu la récitais bien des fois Elle n’a jamais été qu’à toi Et chaque fois les jours d’automne Me renvoient ton souvenir La brise résonne d’un nouveau rire...
Temps Les jours passent et se ressemblent Le temps s’échappe avec insolence Et laisse derrière lui l’invraisemblance, Le regret, la tristesse, la méfiance Monotonie de la vie, monotonie du pays Les vieilles traditions résistent Les vieux poltrons se ragaillardissent...
Spleen Je me sens seul, trop seul Ah...que le temps est assassin ! Et cette solitude qui me recueille... Moi...pauvre malheureux. Un coup de blues, je sonde le chagrin Vivement...vivement... Enfin, on ne choisit pas toujours Et vous, qu’avez-vous spéculer...