Harbour city
Un peu fatigué, certes, par tant de nouveautés
J’en aurais oublié presque mon identité
Alors réveillé, sans reste, j’ai décidé de quitte
Ce temple titanesque ou j’ai tant dépensé
Nous étions, je l’ai cru des millions
Tant en action dans une rue de grande éruption
Des explosions continues, de vacarme, de tout sons
Sortes d’électrons perdus qui cherchent leur maison
Impressionnant de choix j’ai longtemps hésité
Entre avec ou sans, du surpoids qu’il me faudrait porter
De sentiments parfois d’être l’enfant baladé
D’une main de parent ou de roi un peu trop gâté
J’avais faim, - pas assez ? – dans ce tour sans fin
De magasins, escaliers et même sous-terrains
C’était si loin, -effacé ?- comme mon latin
Sans doute enfin par paliers je devenais divin
Grandes marques toutes ici en recherchent de monarques
Moi, simple, sans arc, même petit, me voyait en classe
Belles phrases de philosophies vendues en masses
Enroulées en sacs, sans copie, ne seront efficaces
Non preparé, je l’avoue a une si longue journée
J’étais hypnotise, non pas fou, celui qui se trompe d’allée
Mais non de qualité puisqu’ici tout est renommé
C’est une cité, d’un port en bout, de shopping comblé
Révoltère
Mars 2011